Présentation : Hamlet Mikoyan et Hyun-Su Parks
Hamlet Mikoyan et Hyun-Su Parks, le duo iconique du mouvement
Hyun-Su Parks & Hamlet Mikoyan
5/24/20243 min read
Je suis Hyun-Su Parks, et si vous lisez ces lignes, c’est probablement parce que vous cherchez à comprendre qui nous sommes, Hamlet Mikoyan et moi. Nous sommes souvent décrits comme un duo inséparable, deux faces d’une même pièce, mais chacun de nous a son histoire, sa manière d’agir et de penser. Pourtant, c’est cette complémentarité qui a forgé un lien indestructible, presque fraternel.
Hamlet Mikoyan, c’est l’homme que tout le monde connaît, ou du moins, l’homme qui connaît tout le monde. Arrivé à Los Santos à seulement 21 ans, cet Arménien avait tout misé sur une promesse d’éducation et d’avenir. Une promesse qui s’est vite révélée être un mensonge. Sans permis de travail, sans réseau, sans aide, il aurait pu sombrer. Mais Hamlet, ce n’est pas le genre d’homme à se laisser écraser.
Très vite, il a appris à survivre. Grâce à une ruse innée et une capacité à manipuler les foules avec des mots plus tranchants qu’un scalpel, il a commencé modestement : vendeur à la sauvette pour des gangs locaux. Mais Hamlet n’était pas fait pour rester dans l’ombre de petits criminels. En vingt ans, il a bâti un réseau tentaculaire, un empire relationnel solide comme un roc. Ce n’était plus seulement les petites gens qu’il arnaquait. Il s’en est pris aux riches, aux puissants, à ceux qui pensaient être intouchables.
Son coup d’éclat, celui qui l’a gravé dans les mémoires, c’est sa fausse campagne électorale. Oui, Hamlet Mikoyan s’est présenté aux élections gouvernementales. Pourquoi ? Pour voler des millions à des fonds d’investissement, tout simplement. Et il l’a fait avec un tel brio qu’il a failli, par accident, être élu. Ce qui aurait pu être une plaisanterie est devenu une œuvre d’art criminelle. Pourtant, sa réussite a un prix. Notre première cavale a été brève, et nous nous sommes livrés à la justice par stratégie. Mais même derrière les barreaux, Hamlet restait Hamlet : un homme qui inspire autant qu’il agace, un leader naturel qui ne se laisse jamais abattre.
Et moi, dans tout ça ?
Je ne suis pas Hamlet. Je ne cherche pas la lumière, je n’ai pas son bagout, ni son goût pour les coups d’éclat. Je suis l’ombre, l’homme discret, méthodique, organisé. Là où il brille, je trace les lignes. Là où il séduit, je m’assure que tout est en place pour que le plan fonctionne. C’est moi qui ai organisé sa campagne, celui qui a transformé ses idées en actions concrètes.
Je suis un homme droit, du moins dans ma propre conception de la droiture. Loyauté et discipline sont mes maîtres-mots. Ce que les autres appellent "magouilles", je préfère le voir comme de l’artisanat, un travail méticuleux. Hamlet me permet de goûter au luxe, à la beauté du monde, mais je ne suis pas là pour ça. Ce qui nous lie va bien au-delà de l’argent ou du pouvoir.
Hamlet est mon frère, mon alter ego. Nous ne sommes pas liés par le sang, mais par quelque chose de plus fort : la confiance. C’est une loyauté indéfectible, celle qui naît lorsque vous savez que l’autre serait prêt à tout risquer pour vous. Et ce lien, nous l’avons forgé au fil des années, dans nos réussites comme dans nos échecs, dans les rires comme dans les moments de doute.
Hamlet, avec son charisme flamboyant, et moi, avec ma discrétion glacée, sommes les deux faces d’une même pièce. Lui, c’est le feu qui attire tous les regards. Moi, je suis l’air qui attise ses flammes. Ensemble, nous sommes inséparables.
Certains diront que nous sommes des criminels. Peut-être. Mais dans notre monde, la morale est une monnaie bien moins précieuse que la loyauté. Et si c’était à refaire, je referais tout, sans hésitation, aux côtés de Hamlet Mikoyan. Parce que dans ce chaos qu’on appelle la vie, il est la seule constante. Mon frère, mon complice, mon égal.
Commentaires :
Corbain
Ce fumier de Mikoyan… Un jour, il paiera pour tout ce qu’il m'a volé. Mais il n'est rien sans son esclave chinois. C'est à lui que je vais couper les pattes pour neutraliser Hamlet.
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